Le contrôleur des impôts est un métier qui perdure. Sa tâche principale est d’éviter les fraudes fiscales pour limiter les pertes d’argent de l’État. Cet argent est ensuite affecté aux divers ministères, Ministère de l’économie notamment. Son travail s’appuie sur l’aspect administratif mais la bureautique et l’informatique y tiennent aussi une place prépondérante. Sa mission est de faire appliquer la loi.
Recommandée par Francis Lefebvre Formation, la référence de la formation professionnelle dans les domaines du droit et du chiffre, Déficompta vous prépare de manière flexible aux épreuves et vous guide vers la réussite !
SUIVI
PERSONNALISÉ
DIPLÔME
D'ÉTAT
ÉLIGIBLE
AU CPF
125 000
ÉLÈVES EN 2022
Le rôle du contrôleur des impôts
Le contrôleur des impôts renseigne les contribuables et les conseille sur les démarches fiscales qu’ils doivent effectuer. Il vérifie les dossiers, les déclarations fiscales des usagers et procède au calcul du montant de l’imposition. Il organise et/ou réalise les vérifications des comptes des entreprises et fournit une expertise sur les règles fiscales.
Ce fonctionnaire traite les différents dossiers et assure le suivi de contentieux concernant des entreprises ou des particuliers. Le contrôleur a également pour mission d’assurer la gestion fiscale et le recouvrement de divers impôts : la TVA (taxe sur la valeur ajoutée), les impositions sur les sociétés, les taxes sur les salaires, les timbres fiscaux et l’ISF (Impôt de solidarité sur la fortune).
Il utilise les outils informatiques et connaît parfaitement les finances publiques, la fiscalité, la comptabilité générale, le droit (public et des sociétés). De plus, il est chargé de la publicité foncière et encaisse les droits de mutation. Ce professionnel gère le cadastre et fixe la base des taxes foncières. Il s’occupe de la gestion du patrimoine de l’État.
Il peut également être amené à former le personnel à diverses techniques, procédures ou consignes.
Les qualités requises pour devenir contrôleur des impôts
Ce métier exige, bien évidemment, une connaissance parfaite de la loi et de ses modalités d’application. Le contrôleur doit être très attentif et concentré car il voit défiler, chaque jour, de très nombreux chiffres. L’organisation et la rigueur lui permettent de gérer plusieurs dossiers simultanément, certains étant particulièrement complexes.
Le contact humain occupe aussi une grande importance dans cette profession, notamment lorsqu’une famille ou une entreprise affronte des moments très difficiles. Ce professionnel doit avoir de l’autorité et garder le contrôle de ses émotions afin de garder son objectivité pour traiter efficacement ses dossiers.
Quelle formation pour devenir contrôleur des impôts ?
L’accès à cette profession se fait par le biais d’un concours (catégorie B) de contrôleur des impôts, ouvert à tous les détenteurs du bac (ou équivalent) ou par concours interne. L’âge maximum pour se présenter à ce concours est de 45 ans.
Ce concours est très sélectif. Il peut donc être très intéressant de posséder un diplôme dans le domaine, comme le DCG (Diplôme de comptabilité et gestion), avant de se lancer dans ce concours.
A l’issue de l’admission, une formation rémunérée de 12 mois doit être suivie : 8 mois d’enseignement théorique en école et 4 mois de stage à la DGI (Direction Générale des Impôts).
L’affectation à un poste, à l’issue de la formation, est tributaire du classement aux épreuves finales.
Les avantages de la formation Déficompta
Recommandée par Francis Lefebvre Formation, la référence des métiers du chiffre, la formation Déficompta apporte de nombreux atouts pour qui veut préparer ce concours. Elle vous permet en effet de préparer l’examen du DCG (Diplôme de comptabilité et gestion), diplôme de niveau Bac+3, qui vous permettra de posséder de nombreuses connaissances et compétences nécessaires pour devenir contrôleur des impôts.
– Un environnement rassurant :
Le fait de travailler ses cours dans son environnement personnel évite le stress généré par les démarches à entreprendre pour trouver un logement. L’étudiant peut se consacrer, en toute sérénité, à sa formation.
– Un rythme personnalisé :
Libéré des contraintes horaires imposées, le candidat peut organiser son travail au rythme qui lui convient le mieux.
– Une vraie autonomie :
L’étudiant apprend à s’autogérer en travaillant seul chez lui. Cette expérience lui servira plus tard dans sa vie professionnelle.
Salaires et perspectives de carrière
En début de carrière, un contrôleur gagne environ 2100 € et peut prétendre à 3800 € en fin de carrière.
Une évolution de carrière est envisageable via un concours interne pour devenir Inspecteur ou Contrôleur 1ère classe.